Site icon L'Express Algérie

1 000 milliards pour l’eau du robinet

Eau potable: La crise devra être réglée l'été prochain

 Le complexe public « Cosider » démarrera l’exploitation de la première usine de dessalement d’eau de mer sur la plage à Palm Beach, avant la fin de semaine, en attendant l’exploitation de deux autres usines à Ain Bénian et Zéralda avant la fin août, pour alléger la pression sur les habitants de la capitale et leur fournir de l’eau potable.

La première à être exploitable dans l’immédiat, est la station de Palm Beach, est fonctionnelle dans les vingt quatre heures qui viennent, disent ses responsables, les turbines tourneront avec des capacités de production de 5 000 mètres cubes par jour. D’un coût total de près de 300 milliards de centimes, l’exploitation de cette station se fera avant la fin de la semaine en cours. 

Alors que l’usine de dessalement de l’ouest de la capitale, celle de Ain Bénian, a une capacité de production de 10 000 mètres cubes, et sa mise en service se fera progressivement et en deux phases, la première étant le milieu du mois d’août en cours avec une capacité de 5 000 mètres cubes, et le second début septembre avec la même capacité. Pour cette station, le coût aura été de 350 milliards de centimes pour son achèvement.

Concernant la troisième station de dessalement d’eau de mer, achevée récemment, à l’ouest de la capitale, dans la ville de Zeralda, elle fonctionnait auparavant, avec des périodes creuses cependant. Le coût d’achèvement des trois stations s’élevant au final à 1 000 milliards de centimes, afin d’alimenter en eau potable les habitants de la capitale.

Quant aux projets que la l’entreprise s’engage à mettre en œuvre dans l’est du pays, la station de dessalement d’eau de mer de Skikda sera exploitable début septembre 2021.

Quitter la version mobile