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Élection locale : l’ultime étape franchie !

Le sionisme, la plaie qui gangrène la terre

Une nouvelle ère vient de commencer en Algérie. La dernière pierre du renouvellement de l’édifice institutionnel du pays a été posée hier à la faveur des élections locales qui se sont déroulées dans une atmosphère empreinte  de sérénité qui contraste avec les précédents scrutins et qui tourne définitivement la page noire  de ces « mentors » qui voulaient s’imposer en Algérie sans passer par la voie des urnes. 

Les calculs et les manœuvres de toutes ces parties qui tentaient d’imprimer au Hirak national leurs orientations douteuses se sont brisés devant le mur patriotique des Algériens qui, comme dans les années 90 se sont levés comme un seul homme pour dire non à l’hydre intégriste qui s’efforçait alors de transformer le pays en un émirat moyenâgeux. 

L’édifice institutionnel est totalement rénové. Certes, cette rénovation s’est faite au forceps tant étaient grandes les pressions et les hostilités des lobbies étrangers anti-algériens et de leurs laquais à l’intérieur du pays, mais la vigilance citoyenne et la détermination des hautes autorités du pays  ont fini par triompher.

L’Algérie a échappé in extremis aux plans de « syrianisation » et de dislocation qui lui ont été minutieusement préparés dans les sombres labos des promoteurs du néo-colonialisme. Il a fallu de peu pour qu’elle ne connaisse le même sort que la Syrie et la Libye. 

Depuis pratiquement juin 2019 où  des embusqués revanchards, sous-traitant d’une manière ou d’une autre, avec des labos et ONG étrangers qui ne portent pas  l’Algérie dans leur cœur, ont réussi à  dévier le Hirak de sa vocation originelle et à lui faire brailler  des slogans qui ne sont pas les siens, des attaques insidieuses ont été menées à un rythme de métronome contre l’Etat algérien, son armée et tous ses services de sécurité. Après avoir mis leur mainmise sur le Hirak, ces embusqués qui ne voulaient plus entendre d’élections en Algérie, ont fait tout pour provoquer la désobéissance civile et surtout provoquer des désertions au sein de l’armée. Saïd Makhloufi, de l’aile dure de l’ex-FIS et théoricien  de la désobéissance civile en 1991 est devenu une des références de ces mentors du néo-hirak qui usaient et abusaient de l’agit-prop  pour accélérer la chute de l’Etat algérien.

 Les conditions dans lesquelles se sont déroulées hier les élections locales, loin des violences et des anciens pratiques de fraude et de Ch’kara sont révélatrices de l’échec cuisant   des pro-ingérence étrangère et des  « ennemis des urnes ». Comme l’a souligné Salah Goudjil, le président du Conseil de la Nation : l’esprit de Novembre est de retour.  L’urne a gagné, le peuple algérien a gagné ! Et rien ne peut  désormais empêcher l’Algérie Nouvelle de prendre pleinement son essor ! 

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