En lançant le programme d’Appui au développement local intégré (ADIL), le ministre de l’Intérieur, Saïd Sayoud, a affirmé que l’Algérie est engagée dans une « nouvelle ère de développement », portée par des projets structurants, des réformes locales ambitieuses et une vision durable plaçant le citoyen au cœur de l’action publique.
En lançant à Alger le programme d’Appui au développement local intégré (ADIL), le ministre de l’Intérieur, Saïd Sayoud, a affirmé que l’Algérie vit une « nouvelle ère de développement ».
Une dynamique soutenue par des investissements massifs de l’État et des réformes destinées à renforcer les capacités des collectivités locales, avec l’ambition de placer le citoyen au cœur de l’action publique.
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, Saïd Sayoud, a affirmé lundi à Alger que l’Algérie vit une « nouvelle ère de développement », marquée par la réalisation de projets structurants et l’intensification des programmes dans plusieurs secteurs vitaux.
S’exprimant lors du lancement officiel du programme d’Appui au développement local intégré (ADIL), le ministre a souligné que les résultats positifs de cette dynamique se traduisent déjà sur le terrain, notamment dans les domaines du logement, des infrastructures, de la santé, de l’éducation et de la prise en charge sociale.
« Ces efforts, suivis et évalués en permanence, visent à améliorer le cadre de vie des citoyens sur l’ensemble du territoire national », a-t-il déclaré. Sayoud a mis en avant les « indicateurs économiques prometteurs » enregistrés ces dernières années, saluant la trajectoire imprimée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui « conduit le pays avec rigueur et détermination sur la voie d’un développement durable et intégré, plaçant le citoyen au cœur de l’action publique ».
Il a rappelé les moyens financiers mobilisés par l’État, les collectivités locales et le Fonds de solidarité et de garantie des collectivités locales, qui ont permis d’initier et d’achever des projets couvrant toutes les communes du pays.
Le ministre a insisté sur la dimension participative de cette politique, qui associe la société civile et favorise la diversification des capacités économiques locales.
Cette démarche a renforcé, selon lui, la contribution des collectivités à la création de richesses et d’emplois, notamment dans les communes disposant de moyens limités. Dans cette perspective, il a mis en avant la révision attendue des codes communal et de wilaya, inscrite dans une réforme globale du système de gestion locale, destinée à accompagner la nouvelle vision économique du pays.
Concernant le programme ADIL, Sayoud a précisé qu’il s’agit d’une initiative conjointe du ministère de l’Intérieur, de l’Union européenne et des Pays-Bas.
Ce dispositif concernera douze communes réparties entre les wilayas de Biskra, Tébessa, Tiaret et Mostaganem. Le ministre a indiqué que ce programme vise à renforcer les capacités institutionnelles et humaines au niveau local et constitue un prolongement des coopérations déjà établies avec l’UE.
Il a appelé les acteurs impliqués à « assurer la pérennité des projets et privilégier la création d’emplois stables », afin de consolider la dynamique socio-économique en cours.
